Je
m’essouffle mais ne me laisse pas aller ! Bon. Au début du mois, le club a
organisé une exposition de dessin à l’Alliance Française, avec les participants
du Tournoi des Talents. Pour résumer et pas faire trop long, le Tournoi des
Talents a été lancé au mois de février 2015 par notre chère animatrice préférée
sous couvert du LLB à la nouvelle salle de spectacle Vakok’Arts Trano.
L’idée : organiser un Incroyable talent inter lycée pendant la Journée des Écoles (pas de
cours pendant trois jours).
Le
résultat : la moitié des lycées de la ville participant, plus de 100
élèves sur scène, deux jours de compétitions (éliminatoires et finale), une
représentation professionnelle pour le vainqueur, des disciplines
variées : théâtre, danses (traditionnelle, break dance etc), chant, football,
acrobaties, one man show, dessin, musique... Bref, c’était super et vive les
montées d’adrénaline et d’endomorphine !
Mais, dans
tout ça, une discipline a été un peu laissée pour compte ou, plutôt, pas assez
mise en évidence. Dommage, car un véritable talent existe ici à ce niveau-là
(et dans tellement de disciplines il faut avouer !) et il était dommage de
passer à côté. Ainsi, après concertation avec Madame la directrice de l’AF, une
exposition a été programmée début mai à la bibliothèque. Les artistes : l’ensemble
des participants-catégorie dessin du Tournoi des Talents. Malheureusement, pas
tous les élèves ont pu être contactés et seulement cinq sur sept ont répondu à
l’appel. Il a été fourni aux artistes une énorme feuille genre canson, trois
format A4 et il leur a été demandé de fournir une petite biographie. On a fait
des photos et tout et...
...samedi
25 avril a eu le vernissage, avec, en plus, la remise des prix pour les
participants du Francojeune (concours régional d’écriture) où une élève du club
a reçu le 2e prix. J’étais vraiment en baisse de vitesse à ce
moment-là mais... cette après-midi avec les autorités (Ministère de la Culture,
Éducation Nationale, Maire, CISCO...) face au talent indéniable des jeunes, le
discours de Madame la Maire en faveur des activités parascolaires dans les
lycées, son appel au chef DREN (Direction Régionale de l’Éducation Nationale)
juste derrière elle, le sourire des élèves présentant leurs œuvres face à une
assemblée attentive et surprise, la défense de leurs idées, la sortie de leur
timidité, leur petit instant de gloire...
Instant
magique qui recharge les batteries au moins pour une semaine ! Et toute la
soirée j’affichais moi-même sur mon visage l’ensemble des sourires des élèves
de l’après-midi... Merci !
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¡Pierdo el aliento pero no me dejo llevar! Bueno pues. Al principio del mes el club ha organizado una exposición de dibujos en la Alianza Francesa con los participantes del Torneo de Talentos. Para resumir y que no sea muy largo, el Torneo de Talentos ha sido lanzado durante el mes de febrero 2015 por nuestra querida animadora preferida al amparo del LLB en la nueva sala de espectáculo Vakok’Arts Trano. La idea: organizar un Increíble talento inter institutos durante la Jornada de las Escuelas (no hay clase durante tres días).
El resultado: la mitad de los institutos participando, más de 100 alumnos
sobre la escena, dos días de competición (eliminatorios y final), une
representación profesional para el triunfante, tematicas variadas: teatro,
danzas (tradicional, break dance etc.), cantos, fútbol, acrobacias, one man
show, dibujo, música… Bueno, era genial y ¡vivan las subidas de adrenalina y endorfina!
Pero, en todo ello, una categoría ha sido un tanto dejado de lado o, más
bien, no lo suficientemente puesta en valor. Es una pena porque existe aquí un
verdadero talento a este nivel (¡en tantas disciplinas a la verdad!) y era
triste pasar al lado. Así que, después concertación con la directora de la AF,
una exposición fue programada a principios de mayo en la biblioteca. Los
artistas: el conjunto de los participantes categoría dibujo del Torneo de
Talentos. Desgraciadamente, no pudimos contactar a todos los alumnos y sólo
cinco sobre siete respondieron presentes. Les dimos a los artistas un enorme
papel cansón, tres formas A4 y les pedimos que nos procuren una pequeña biografía.
Hicimos fotos y todo y…
…el sábado 25 de abril hubo el barnizado con, además, la entrega de los
premios para los participantes del Francojeune (concurso regional de escritura)
en lo cual una de las alumnas del club recibió el 2º premio. En este momento,
yo tenía un bajón bastante profundo pero… aquella tarde con las autoridades
(Ministerio de la Cultura, Educación Nacional, Aynutamiento, CISCO…) frente al
talento innegable de los jóvenes, el discurso de la Señora el Alcalde a favor de las
actividades para-escolares en los institutos, su mensaje lanzado al jefe de la
DREN (Dirección Regional de la Educación Nacional) escuchando justo detrás de
ella, la sonrisa de los alumnos presentando sus obras frente a un grupo atento
y sorprendido, la defensa de sus ideas, la salida de su timidez, sus instantes
de gloria…
¡Instante
mágico que carga las baterías por lo menos una semana! Y durante toda la noche,
marcaba yo misma en mi rostro el conjunto de las sonrisas de los alumnos… ¡Gracias!
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26 mai 2015
Pour ne pas se laisser aller... - épisode 3
14 mai 2015
Pour ne pas se laisser aller... - épisode 2
Au mois de
décembre dernier, le 26 exactement, je fus invitée à Ampanihy, quel honneur, au mariage
d’un de mes collègues, Josse. Josse,
le beau prof de sport que l’on préfère plutôt célibataire qu’avec une bague au
doigt... Je me réjouis cependant : je souhaitais quitter la ville pendant
les vacances mais l’inspiration de où me diriger me manquait (ou bien
sentais-je que quelque évènement arriverait... ?!) et cette
invitation en brousse à 230 km au sud de Toliara
arriva à point nommé ! Encore un petit tour onctueux de ma bonne étoile...
Merci.
Ainsi nous partons, une dizaine pour le mariage -pardon
pour les fiançailles (précision de Josse)- en milieu d’après-midi dans un grand
camion-brousse. Les 50 premiers
kilomètres surplombent la RN7,
finalement une des meilleures portion de
route de Mada
(j’aurais pas cru en arrivant ici...). La végétation est
sèche, dense et nous apercevons quelques baobabs. Je suis à l’avant mais sur le
côté, prêt du futur marié, le camion est blindé. Il file, je quitte Toliara. Je
respire. Puis il s’arrête, pause. Je descends, regarde autour de moi et
sursaute : j’ai déjà eu des problèmes à cet endroit-là et y suis déjà
passée deux fois depuis ! Je garde un air naturel mais...
Enfin on repart,
rien à signaler. Euh, sauf que de route presque lisse et droite où nous
roulions à vive allure, nous voilà sur la piste, cahotant à droite cahotant à
gauche, creusant davantage des creux déjà profonds, enchaînant les nids de
zébus. Et oui, nous ne dépasserons pas le 30km/h,
durant 180km. Et 30, c’était la vitesse de pointe ! 18 heures, 230 kilomètres...
Finalement,
pas besoin d’aller si loin que ça pour déconnecter, la lenteur amorce la pensée
et l’entretient, elle lui laisse le temps, ne la presse pas et, au contraire,
l’encourage. Car que faire lors de ce temps presque stoppé, si ce n’est
penser ? Alors je pense, je réfléchis, je repère les synchronismes, les
signes, je me laisse guider... Et j’ai
l’impression d’atteindre un bout du bout du monde. Les coucher et lever de
soleil étaient beaux, nous traversant une forêt sèche, épineuse et
particulièrement aride. Ça ne respire pas
beaucoup l’eau par ici, même si la
route encore inondée prétend le contraire (mi-décembre
= début de la saison des pluies).
Nous arrivons, il est midi. Et la
chaleur nous écrase. Attente, chaud. Vraiment chaud. Attente. Chaud. Attente.
Nous partons rejoindre la famille de la future mariée et elle-même, là-bas
depuis une semaine. Je raccourcis les présentations, l’accueil, le repas, les
discussions, les copains scouts, le coucher du soleil, le gâteau, le programme
du lendemain...
Les fiançailles (ou mariage,
jusqu’à aujourd’hui je n’ai pas de certitude !)
Ampanihy est une moyenne ville mahafal
située sur une des routes qui relie Toliara
à Fort-Dauphin. L’évènement de la journée est le deuxième d’une série de
trois avant de consacrer réellement l’union femme-homme à l’église. Quelques
mois auparavant, le jeune homme s’était entretenu avec le père de sa
"bien-aimée" pour demander sa
main, qui lui avait été accordée pour la somme de je
ne sais combien d'ariary
et un zébu.
La deuxième
étape, celle qui nous réunissait en ce jour, était la passation de façon traditionnelle
de la future épouse à la famille du futur marié, suivie de la cérémonie de
scellage officiel de leur union, à la mairie.
En m’invitant, Josse souhaitait me faire découvrir une des traditions de la région Grand Sud de Madagascar, et je l’en
remercie. Mon travail en échange : des photos ! Et de qualités, merci
papa.
D’ailleurs,
celles-ci représentent, dans l’ordre, le déroulement de ces quelques jours hors
du temps, une petite wasette rasta
faisant partie intégrante de la famille proche du marié et assistant, avec eux,
aux discussions entre pères sur l’avenir de leurs enfants.
Remarquez bien,
seuls les hommes parlent, même s’il s’agit des "pièces rapportées",
comme le beau-frère du futur marié par exemple. Le jeune homme, lui, reste muet,
tête baissée... Existe-t-il une hiérarchie ? Enfants - femmes - fils de...
– parents - anciens ? La discussion porte sur le prix de la dot qui a augmenté. Ça parle, parle, je ne comprends
rien mais c’est comme unedouce musique qui résonne dans mes oreilles.
Ces voix graves, posées... Peut-être la voix sage des anciens ? Pendant ce
temps, le zébu attend. Il attend la
fin du débat pour intégrer la famille de la fille qui, elle,
intègrera la
famille du garçon. D’ailleurs, nous ne la verrons qu’une fois l’accord conclu.
Josse se lève, deux femmes accompagnent sa future épouse, la lui remette puis ils
viennent tous deux s’installer avec nous, la famille du marié. Ça y est, elle a
été donnée, nous pouvons partir.
Nous
rentrons. Douche. Collation. Finir le gâteau. Douche. Chaleur. Repos. Chaleur.
Nous
partons à la mairie. Bon, là c’est
un mariage quoi. On est tous assis à se regarder dans le blanc des yeux on
attend c’est long il fait chaud enfin ça commence on a l’impression d’être à un
examen blablabla du maire les époux
"oui" sourires gênés non il n’y a pas d’alliance signatures on
applaudit ? je ne m’en souviens plus on sort il pleut du riz photos
sourires énergie tendue chaleur on part à la salle... Bon, un mariage à la mairie
quoi... Pourquoi tant de monde dans un
moment aussi pompant pour une signature nécessitant seulement quatre
personnes ?! J’avoue que certaines traditions de ce monde me laissent
perplexe...
C’est après
que ça devient croustillant. On mange, non pardon on prie d’abord, mmh la
viande est vraiment délicieuse, on danse (mais on commence par le afindrafindrao !),
on boit, ils ouvrent des cadeaux, ah non, on fait la queue pour les leur
donner, ils partagent le gâteau, main
dans la main, un baiser ? oui, il y
en a eu un ! Les enfants dansent, les vieux aussi, ça boit, ça s’amuse. Il y a l’ambiance[1].
Le soleil bientôt se couche et... c’est la fin ! Je n’ai même pas eu le
temps de danser...
Mais c’était
vraiment chouette !
Merci Josse.
[1] Le terme
ambiance porte une signification bien
particulière ici à Madagascar. Couramment employé il se réfère au moment où on
danse, boit, oublie, profite... Il y a l’ambiance !
Para no dejarse llevar - Episodio 2
Durante el mes de diciembre pasado, el 26 exactamente, estuve invitada a Ampanihy,
vaya honor, a la boda de unos de mis colegas, Josse. Josse, el bello profe de deporte que
preferimos más soltero que casado… Sin embargo me alegro: quería salir de la
ciudad durante la vacaciones pero me faltaba la inspiración del dónde (¡¿o bien
sentía que algo iba a llegar…?!) ¡y esa invitación en brousse[1]
a unos 230 km al sur de Toliara llegó totalmente a propósito! Otro número untuoso
de mi buena estrella… Gracias.Durante el mes de diciembre pasado, el 26 exactamente, estuve invitada a Ampanihy,
Así que
partimos, una decena para la boda –perdón, el noviazgo (precisión de Josse)-
en
medio de la tarde en un gran camion-brousse.
Los 50 primeros kilómetros recorren la RN7, finalmente una de las mejores porción de carretera de Mada (no lo hubiera creído
al llegar aquí…). La vegetación es seca, densa y distinguimos unos cuantos
baobabs. Estoy sentada adelante pero en el lado, cerca del futuro marido, el camión
está llenísimo. Él corre y yo me alejo de Toliara. Respiro. Se para, pausa. Bajo, miro
alrededor y sobresalto: ¡ya tuve problemas en este mismo lugar y ya pasé aqui dos
veces desde entonces! Conservo un aire natural pero… Por fin nos vamos, nada
qué decir. Euh, salvo que de carretera casi lisa y recta sobre la cual circulábamos
a viva velocidad, estamos ahora sobre la pista, traqueteando por la derecha traqueteando
por la izquierda, cavando aún más huecos ya profundos, enlazando los baches. Sí
sí, no sobrepasaremos los 30km/h durante180km. Y 30, ¡era la velocidad de punta! 18 horas, 230 kilómetros…
Finalmente,
no hace falta irse tan lejos para desconectar. El lentor inicia el pensamiento
y lo entretiene, le deja el tiempo, no le apresura y, al contrario, le anima.
Ya que, ¿qué hacer durante aquel tiempo parado, si no es pensar? De modo que
pienso, reflexiono, localizo los sincronismos, los signos, me dejo guiar… Y tengo la impresión de alcanzar uno de los
pinos del quinto pino. Los atardecer y amanecer eran bellos, nosotros atravesando
un bosque seco, espinoso y particularmente árido. No percibimos mucha agua por
aquí, aunque la pista aún inundada pretende lo contrario (mi-diciembre = principio de la temporada de lluvia).
Llegamos, son las doce. Y el calor nos aplasta. Espera, calor. Realmente calor.
Espera. Calor. Espera. Vamos a la casa de la futura esposa, ella está allí desde
una semana ya. Corto las presentaciones, la acogida, el almuerzo, las
discusiones, los amigos scouts, el atardecer, el pastel, el programa de la mañana…
El noviazgo (o boda, hasta hoy no tengo certidumbre!)
Ampanihy es una ciudad mahafaly de tamaño
medio en el sur de
Toliara en una ruta que une Toliara
a For-Dauphin. El acontecimiento de la jornada es el secundo de una serie
de tres antes de consagrar realmente la unión mujer-hombre en la iglesia. Unos
meses antes, el chaval se había entretenido con el padre de su “querida” para pedirle su mano, la cual se le había sido
otorgada por la sumo de no sé cuántos ariarys y un cebú.
La
segunda etapa, la cual nos reunía aquel día, era la entrega de modo tradicional
de la futura esposa a la familia del futuro esposo, seguida por la ceremonia
del fusion oficial de su unión, en el ayuntamiento.
Al invitarme, Josse deseaba
hacerme descubrir una de las tradiciones de la región Grand Sud de Madagascar, y se
lo agradezco mucho. Mi trabajo en cambio: ¡fotos! Y de calidad, gracias papa.
De hecho,
éstas representan, en orden, el desarollamiento de esos cuantos días fuera del
tiempo, una wasesita rasta formando
parte integrante de la familia próxima del casado y asistiendo, junto con ellos,
a las discusiones entre padres sobre el porvenir de sus hijos/hijas. Fíjense
bien, sólo los hombres hablan, aunque sean “piezas traidas”, como el cuñado
del futuro marido por ejemplo. El joven, él, permanece mudo, cabeza baja… ¿Existe
aquí alguna jerarquía? ¿Niños – mujeres – hijos de… – padres – ancianos? La discusión
trata del precio de la dote que ha
aumentado. Hablan, hablan, yo no entiendo nada pero es como una suave música que
suena en mis oídos. Aquellas voces profundas,
calmas… ¿Tal vez las voces sabias de los ancianos? Mientras tanto, el cebú espera. Espera el final del
debate para integrar la familia de la chica, la cual integrará la familia del
chico. De hecho, no la veremos hasta un acuerdo establecido. Josse se levanta,
dos mujeres escoltan a su futura esposa, se la otorgan y vienen los dos
instalarse junto con nosotros, la familia del marido. Ya está, ha sido entragada,
podemos irnos.
Volvemos
a casa. Ducha. Colación. Acabar el pastel. Ducha. Calor. Descanso. Calor.
Partimos
al ayuntamiento. Bueno, aquí se
trata una boda, no más. Estamos todos sentados mirándonos en el blanco de los
ojos esperamos es largo hace calor por fin empieza tenemos la impresión de
estar a un examen blablablá del alcalde
los esposos
“sí” sonrisas incomodadas no no hay alianza firmas ¿aplaudimos? no
me acuerdo salimos llueve arroz fotos sonrisas energía tensa calor vamos a la
sala… Bueno,tan sólo una boda en el
ayuntamiento… ¿Por qué tanta gente en un momento tan pesado para una firma que necesita solamente cuatro personas? Confieso que algunas tradiciones en este mundo me dejan perpleja…
ayuntamiento… ¿Por qué tanta gente en un momento tan pesado para una firma que necesita solamente cuatro personas? Confieso que algunas tradiciones en este mundo me dejan perpleja…
Es
después que se hace piquante. Comemos, no, perdón, primero rezamos, mmh la carne
es realmente exquisita, bailamos (¡pero empezamos con el afindrafindrao!),
bebemos, abren los regalos, ah no, hacemos cola para dárselos, parten el pastel
juntos, manos en la masno, ¿un beso? sí, ¡hubo uno! los niños bailan, los viejos
también, beben, se divierten. Hay l’ambiance[2]. El sol se desvanece y… ¡es el final!
Ni siquiera me ha dado el tiempo bailar…
¡Pero
fue bien padre!
Gracias Josse.
[1] El termino brousse se refiere a la vida fuera de la ciudad.
[2] El término ambiance es evocador del AMBIENTE en Madagascar: la gente baila,
bebe, olvida, disfrute… ¡Es l’ambiance!
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